Collection > Volume 17 Numéro 3 (2007) > Dossier thématique >
Composer des étendues, projeter des images
Deux pratiques de l’art sonore
Bastien Gallet
Résumé
Partant d’une description du dispositif hautement «situé» I am sitting in a room (1970) d’Alvin Lucier — une œuvre qui compose ce qui est dit avec l’espace dans lequel le propos est énoncé —, l’auteur distingue scrupuleusement entre l’installation sonore et l’in situ à proprement parler, ainsi qu’entre l’installation et la projection du son. En choisissant des exemples dans des œuvres d’artistes aussi variés que Max Neuhaus, Robin Minard, WrK et Bill Viola, entre bien d’autres, l’auteur analyse l’utilisation que chacun fait des sons et des espaces de projections de ceux-ci. En sort un vif portrait des réalisations anciennes et récentes dans la pratique de l’art sonore dans l’espace.
Abstract
Beginning with a description of the highly ‘situated’ format of Alvin Lucier’s I Am Sitting in a Room (1970) — a work in which what is said is composed by the space in which it is said, the author takes pains to distinguish between sound installation and “in situ” music as such, as well as between installation and projection of sound. Through the examples of artists as varied as Max Neuhaus, Robin Minard, WrK and Bill Viola, the author analyses the use each makes of sound and its projection in space; what emerges is a vivid portrait of recent and less recent practices of sound art in space.
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